En répondant à l’appel de l’AFGNV, les cosignataires, dont GRDF, comptent faire entendre leur voix au niveau européen pour faire lever les barrières à l’utilisation du BioGNV, qui représente déjà une réponse efficace et adaptée aux défis techniques et pratiques que rencontrent transporteurs et utilisateurs.
En 2022, un bus sur deux, un autocar sur quatre et 5 % des poids lourds ont été immatriculés en France au BioGNV/GNV. Ce parc de véhicules s’appuie sur un réseau d’avitaillement de plus de 650 stations publiques et privées. En Île-de-France, l’essor du BioGNV continue par le développement de stations d’avitaillement le long de l’Axe Seine et dans la ZFE Métropolitaine, notamment à Paris, Seine-et-Marne et dans les Yvelines.




Monoprix est une des nombreuses enseignes à avoir choisi le (Bio)GNV pour réduire l’impact environnemental de ses transports de marchandises, en élargissant sa flotte de camions roulant au gaz naturel pour véhicules (GNV) et au biogaz (BioGNV). Un exemple sur la commune de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).
En outre, le BioGNV permet d’éviter une trop grande dépendance aux importations de métaux et composants critiques, nécessaires aux technologies électriques et hydrogène.
Déjà mature, la filière biométhane renforce la souveraineté énergétique de l’Europe. À l’heure où le règlement votant la fin des véhicules thermiques légers en 2035 est requestionné, donnons aux acteurs de la mobilité tous les moyens pour décarboner dès aujourd’hui le transport !
> Pour en savoir plus, lire la tribune dans son intégralité sur le site de l’AFGNV (Association française du gaz naturel véhicule)
